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21 mai 2014

C. Pasquali, "L’ambassadeur" (trad., intro. et notes de D. Gaurier), PULIM, 2014 + CD

Information transmise par J. Hoareau-Dodinau:
Carlo Pasquali
L’ambassadeur

Trad., intro. et notes de D. Gaurier
Limoges, PULIM (CIAJ n° 37), 2014, 480 p. + CD version originale, ISBN:978-2-84287-610-4, 35€
Présentation éditeur
Dominique Gaurier poursuit avec cet ouvrage le travail de mise à disposition des textes des auteurs classiques du droit international qu’il avait commencé à proposer aux PULIM. Avec Carlo Pasquali, il revient au droit des ambassades qui avait commencé cette série de traductions.

Pasquali, d’origine italienne, avait été anobli par le roi de France pour avoir rempli ses missions diplomatiques à la pleine satisfaction du pouvoir royal; le livre qu’il a composé sur l’ambassadeur se présente comme un ouvrage destiné à plaire au public plus que comme un véritable ouvrage technique; Cependant, ces aspects ne sont pas non plus absents et donnent en tout cas à l’auteur l’occasion de faire valoir son excellente culture classique tant des auteurs grecs que latins. L’ouvrage compte parmi les quelques qui ont été consacrés au droit des ambassades, chacun ayant à la foi ses qualités propres et ses inconvénients.

Sommaire
Chapitre I. - On définit l’ambassadeur et on le choisit
Chapitre II. - L’ambassadeur est appelé un porte parole, un serviteur et un envoyé
Chapitre III. - De quelle sorte les féciaux étaient-ils les ambassadeurs ? 
Chapitre IV. - Des parlementaires, des hérauts et des autres envoyés de cette sorte
Chapitre V. - Du héraut et des ambassades qui exposent de nombreuses choses plus par des marques que par des mots
Chapitre VI. - L’ambassade est une invention de la nécessité
Chapitre VII. - Certains s’acquittent d’ambassades sans aucun titre. Conseil de ne pas envoyer une ambassade et cependant, de traiter la chose
Chapitre VIII. - Une seule [personne] ne peut s’acquitter de deux, ou d’un grand nombre d’ambassades, à l’exception des villes municipales. L’ambassadeur doit porter devant lui les titres de sa patrie. L’égalité et la concorde des ambassadeurs
Chapitre IX. - On donne une seule ambassade à plusieurs [personnes]. Des nombreuses ambassades
Chapitre X. - Des ambassades divines
Chapitre XI. - Entre qui les ambassades iront-elles proprement ? 
Chapitre XII. - Quand des ambassades sont envoyées par des seigneurs improvisés et, à plus forte raison, par des brigands à ceux qui commandent de façon légitime
Chapitre XIII. - J’en rappelle d’autres entre qui des ambassades se sont dirigées. L’ambassade libre. [L’ambassade] votive
Chapitre XIV. - Sous la protection de quelle divinité se trouve l’ambassade et à quel parti de la République celle-ci a-t-elle été assignée ? 
Chapitre XV. - Je souhaite une origine, des moyens, l’expérience des affaires humaines et l’éloquence dans une ambassade
Chapitre XVI. - Je souhaite des [qualités] extérieures dans un ambassadeur
Chapitre XVII. - A partir de quel ordre l’ambassadeur devra-t-il être choisi pour qu’il soit trouvé pourvu en ces mérites, qui garantissent à domicile et au service la protection de la République ? 
Chapitre XVIII. - L’ambassade doit être donnée à des gens dignes, en tenant d’abord compte de la disposition des qualités intellectuelles. De l’âge de l’ambassadeur
Chapitre XIX. - En dehors de ce que j’ai dit ci-dessus, en donnant une ambassade, on cherche à atteindre des modèles de qualités intellectuelles et la manière d’agir de la vie
Chapitre XX. - Parfois, la nécessité commande que l’on donne des ambassades à ceux qui n’ont eu aucun rapport avec un parti de la République, les femmes n’en étant certes pas exceptées
Chapitre XXI. - L’ambassade s’appuie sur des commissions. Les commissions sont données verbalement, ou par écrit. On traite ici de l’une et de l’autre
[…]
Chapitre LXXXV. - Du rapport de l’ambassade
Chapitre LXXXVI. - Certaines autres choses qui regardent le rapport
Chapitre LXXXVII. - Des récompenses qui sont remises, une fois les ambassadeurs revenus